samedi 29 août 2015

Damian Warner et Melissa Bishop empochent l'argent

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Mise à jour le samedi 29 août 2015 à 7 h 57 HAE
Damian Warner
Damian Warner  Photo :  GI/Alexander Hassenstein

Les Canadiens Damian Warner et Melissa Bishop ont chacun récolté une médaille d'argent, samedi, aux Championnats du monde d'athlétisme de Pékin.
Warner a maintenu son rythme de croisière pour finalement boucler les 10 compétitions avec un impressionnant cumulatif de 8695 points, une nouvelle marque canadienne.
L'Ontarien de 25 ans avait lui-même réalisé le pointage de référence (8659 points) lors des Jeux panaméricains de Toronto, il y a un mois.
Warner a été devancé par Ashton Eaton (9045 points), également vainqueur en 2013 à Moscou. Le représentant des États-Unis a abattu l'ancien record, qu'il détenait d'ailleurs, par six points.
L'Allemand Rico Freimuth (8561 points) a pour sa part récolté le bronze.
Bishop sur la deuxième marche
Melissa BishopMelissa Bishop  Photo :  GI/Ian Walton
Championne de l'épreuve du 800 m aux derniers Jeux panam, Bishop a cette fois-ci récolté une médaille d'argent.
L'athlète de 27 ans a franchi la ligne d'arrivée en 1 min 58 s 12/100. Neuf centièmes de seconde l'ont séparé de la gagnante, la Bélarussienne Marina Arzamasova (1:58,03).
La championne sortante, la Kényane Eunice Sum (1:58,18), a rejoint Arzamasova et Bishop sur la tribune.
Les trois médaillées ont nettement émergé dans le dernier droit de la course, la Marocaine Rababe Arafi terminant au pied du podium en 1:58,90.
D'autres détails suivront.

Al Arbour est décédé à l'âge de 82 ans

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Al Arbour,

Al Arbour, l'entraîneur qui a fait des Islanders de New York une dynastie dans la LNH avec quatre conquêtes de la coupe Stanley d'affilée dans les années 1980, inspirait immédiatement le respect de ses joueurs et des autres intervenants dans le milieu du hockey.
La communauté du hockey s'est souvenue d'Arbour pour sa personnalité et ses incroyables succès, vendredi, après l'annonce de son décès à l'âge de 82 ans des suites d'une longue bataille avec la maladie de Parkinson et de démence.
Originaire de Sudbury, en Ontario, Arbour a guidé les Islanders à la conquête de la coupe Stanley en 1980, 1981, 1982 et 1983 et il a gagné 19 séries d'affilée en éliminatoires jusqu'en 1984. Aucune équipe n'a remporté trois titres d'affilée depuis lors.
Avec ses 782 victoires, il vient au deuxième rang dans l'histoire de la LNH derrière Scotty Bowman, pour qui il a joué avec les Blues de St. Louis.
« Il était consciencieux, a mentionné Bowman au fil d'une conversation téléphonique. Il avait l'expérience avec les bonnes équipes, il savait ce qu'il faut pour gagner. C'était une personne sensée. Il établissait un plan et vous deviez l'exécuter. »
« C'était un homme que j'admirais beaucoup, autant comme homme que comme entraîneur, a déclaré Jacques Demers. Il s'est toujours comporté avec le plus grand respect. »
Arbour a guidé les Islanders, une équipe d'expansion, aux séries éliminatoires à leur troisième année d'existence seulement et à la conquête de la coupe à leur huitième, sa septième derrière le banc. Il a fait 15 présences en séries éliminatoires et il a dirigé les Islanders pour un total de 1500 matchs, atteignant ce jalon important quand il est sorti de sa retraite pour un dernier match en 2007 à la demande de Ted Nolan.
« C'était un homme extraordinaire, a commenté l'ancien défenseur Denis Potvin, qui a évolué sous les ordres d'Arbour durant 13 de ses 15 saisons dans la LNH. Je ne sais pas s'il y a eu un meilleur entraîneur-chef que lui. Il a été capable de nous garder focus durant cinq ans alors que nous avons gagné 19 séries éliminatoires consécutives. C'est quelque chose d'incroyable qui ne sera jamais répété.
« Avec Al Arbour, aucune situation n'était trop négative pour que ce soit impossible, avec notre énergie et notre volonté, de la tourner en situation positive. C'était quelque chose qu'il nous répétait tout le temps, s'est rappelé Potvin. J'ai gardé cette façon de vivre même 25 ans après la fin de ma carrière dans la LNH. »
« Nous nous souviendrons toujours d'Al comme de l'un des plus grands entraîneurs, sinon le plus grand, dans l'histoire de la Ligue nationale de hockey, a mentionné le directeur général Garth Snow dans un communiqué. Les Islanders de New York ont remporté quatre coupes Stanley, en grande partie grâce aux efforts incroyables d'Al.
« De ses méthodes d'entraînement novatrices, à son humble manière de vivre en dehors du hockey, Al est l'une des raisons pour lesquelles les Islanders de New York forment une concession historique. Au nom de toute l'organisation, nous transmettons nos plus sincères condoléances à toute la famille Arbour. »
Arbour, qui a également dirigé les Blues en partie pendant trois saisons, a été admis au Temple de la renommée du hockey dans la catégorie des bâtisseurs en 1996.
L'ancien attaquant des Islanders, Ray Ferraro, se rappelle autant d'Arbour comme personne que comme entraîneur à succès. Il conserve de bons souvenirs de la saison 1993 lorsque les Islanders ont eu raison des Penguins de Pittsburgh de Bowman en séries éliminatoires.
« Il était très ferme et très exigeant, mais il était tellement juste que je ne sais pas comment vous pourriez vouloir jouer pour quelqu'un d'autre, a déclaré Ferraro au téléphone. Il ne paniquait jamais, était toujours convaincu d'avoir raison, mais sans être un dictateur. »
Ses quatre coupes Stanley d'affilée ont beau être impressionnantes, ses 19 séries victorieuses de suite en éliminatoires demeurent l'un des records les plus inaccessibles du sport.
« Je pense que c'est un record qui ne sera pas brisé, a déclaré Bowman en riant. Il est difficile de gagner deux coupes d'affilée et ça signifie de gagner huit séries. Alors je pense que ce record est en sécurité. »
Comme défenseur, Arbour a contribué à gagner quatre championnats avec les Red Wings de Detroit, les Blackhawks de Chicago et les Maple Leafs de Toronto. Et il a été le premier capitaine des Blues. Il a disputé 626 matchs et il a été l'un des derniers joueurs à porter des lunettes sur la patinoire.
Bowman s'est souvenu d'Arbour comme d'un excellent spécialiste pour bloquer les tirs et un solide capitaine.
« Il était le joueur le plus compétitif. »
Arbour a pris part à 86 matchs éliminatoires comme joueur et à 209 autres comme entraîneur. Il a mené les Islanders à 15 présences dans les éliminatoires pendant son séjour à la barre de l'équipe.
Ferraro, qui a rendu visite à Arbour à Sarasota, en Floride, le printemps dernier avec ses anciens coéquipiers Pat Flatley, Glenn Healy et d'autres, a mentionné que son histoire favorite du légendaire entraîneur s'est produite en 1993.
Ferraro effectuait un retour au jeu après avoir été tenu à l'écart en raison d'une blessure à la cheville et quand son jeu n'a pas été la hauteur, Arbour l'a fait venir dans son bureau avec trois matchs à jouer avant les séries éliminatoires.
« "Il m'a dit, 'Seagull, tu as trois matchs pour passer à l'action. Si tu ne le fais pas, tu vas aller t'asseoir avec (mon épouse) Claire, et elle a occupé les mêmes sièges pendant 22 ans', s'est rappelé Ferraro. Je suis resté là et il a dit, 'C'est tout.' Il m'a offert l'occasion de bien jouer et il a ajouté que si ce n'était pas le cas, alors je vais faire appel à quelqu'un d'autre.
« J'ai réussi 13 buts en 18 matchs en séries cette année-là. Il m'a donné une opportunité. Et j'ai toujours trouvé qu'il était juste. »

Atteint de la maladie d'Alzheimer, l'état d'Henri Richard s'est aggravé

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Publié par Jacques Thériault pour 98,5fm Sports le vendredi 28 août 2015 à 23h34. Modifié à 23h53.
Atteint de la maladie d'Alzheimer, l'état d'Henri Richard s'est aggravé
canadiens.nhl.com
(98,5 Sports) - Dans une touchante chronique publiée dans le Journal de Montréal, le journaliste Pierre Durocher nous apprend que l'état de santé d'Henri Richard s'est détérioré depuis quelque temps. Le «Pocket Rocket», frère cadet du grand Maurice Richard, est en effet atteint de la terrible maladie d'Alzheimer.
Pierre Durocher s’est entretenu avec quelques-uns des anciens coéquipiers du numéro 16, gagnant de 11 coupes Stanley dans le cadre su tournoi de golf Hector «Toe» Blake. Celui qui a mené le Canadien à la conquête de 5 coupes Stanley consécutives de 1956 à 1960 a succombé à la maladie en 1995.

Outre Henri Richard, il ne reste plus que Dickie Moore, Don Marshall et Jean-Guy Talbot à avoir été des 5 conquêtes.

Âgé de 84 ans, Dickie Moore, prolifique marqueur en son temps, a trouvé la dernière année particulièrement difficile en raison des décès de plusieurs anciens Canadiens, notamment du grand capitaine Jean Béliveau.

Les 11 titres d’Henri Richard constituent un record qui ne sera probablement jamais battu, compte tenu du nombre d’équipes et de la parité dans la Ligue nationale de hockey. Le Canadien a retiré le numéro le 16 en 1975 et il est entré au Temple de la Renommée en 1979.

Le tournoi des célébrités Hector «Toe» Blake, créé en 1994 a, depuis, amassé 1,3 million $ qui ont été versés à la Société Alzheimer Montréal

(Avec journaldemontréal - Pierre Durocher)

Le but gagnant de la coupe Stanley en 1971


Peter Budaj au camp des Kings

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Peter Budaj
Peter Budaj (Source d'image: Getty )

Peter Budaj tentera un retour dans la Ligue nationale de hockey.
L'ancien gardien du Canadien de Montréal et de l'Avalanche du Colorado a été invité au camp d'entraînement des Kings de Los Angeles.
Budaj a disputé 19 matchs avec le club-école des Jets de Winnipeg la saison dernière.
Le gardien slovaque compte 124 victoires au cours de sa carrière de neuf saisons dans la LNH.

Nordiques : Le Fonds FTQ étudiera toute demande de financement

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Centre Vidéotron
Centre Vidéotron (Source d'image: RDS )

QUÉBEC - Le Fonds de solidarité FTQ est intéressé par le projet de retour des Nordiques, a déclaré vendredi un porte-parole de l'organisme.
Aucune requête formelle n'a été transmise par le promoteur du projet, le conglomérat Québecor, mais le président et chef de la direction du Fonds, Gaétan Morin, étudiera toute demande d'investissement avec "un grand intérêt", a affirmé Patrick McQuilken, conseiller principal aux relations de presse et aux communications.
« On va regarder ça avec un grand intérêt parce qu'on reconnaît la valeur en développement économique et en création d'emplois, a-t-il dit. Mais il faut vraiment analyser le dossier en bonne et due forme. »
Le Fonds FTQ détient déjà des participations dans deux équipes sportives montréalaises, le club de hockey Canadien et l'équipe de soccer l'Impact. Le fonds de travailleurs a déjà également investi dans le club de baseball des Expos de Montréal, ainsi que dans les Nordiques de Québec, jusqu'à leur déménagement au Colorado en 1995.
« C'est un secteur que l'on connaît bien, c'est un secteur qui a des retombées économiques, a dit M. McQuilken. Mais on regarde chaque dossier à sa valeur. »
Plus tôt cette semaine, après avoir rejeté l'hypothèse que des subventions gouvernementales faciliteraient le retour des Nordiques, le chef du Parti québécois et actionnaire de contrôle de Québecor, Pierre Karl Péladeau, a évoqué le Fonds de solidarité de la FTQ, ainsi que la Caisse de dépôt et placement, en les identifiant comme des investisseurs institutionnels potentiels dans une concession de la Ligue nationale de hockey.
Le vice-président aux affaires publiques de Québecor, Martin Tremblay, a réagi positivement, vendredi, à l'intérêt du Fonds de solidarité FTQ.
« Nous sommes très heureux de l'intérêt que porte le Fonds de solidarité FTQ à ce projet, a-t-il écrit dans un courriel. Nous tenons toutefois à réitérer que nous n'avons eu aucune discussion formelle avec des partenaires potentiels et que Québecor est le promoteur unique soumis à la LNH dans le cadre de son dossier de candidature. »
La Caisse de dépôt et placement, une société d'État, a refusé de commenter, vendredi, toute éventualité d'un investissement dans le projet d'équipe de la LNH porté par Québecor.
L'entreprise a annoncé il y a une semaine que sa candidature au projet d'expansion de la LNH avait franchi une troisième étape, qui servira vraisemblablement à l'étude de son plan d'affaires par les dirigeants du circuit de hockey professionnel.
En septembre dernier, le premier ministre Philippe Couillard avait ouvert la porte à un partenariat financier pour le retour des Nordiques. M. Couillard avait cependant précisé que cela serait exclu avant le retour de l'équilibre budgétaire prévu d'ici la fin de mars 2016.
Vendredi, M. Péladeau a effectué sa première visite de l'amphithéâtre de Québec, géré par Québecor, à quelques jours de l'inauguration officielle de l'édifice, prévue début septembre.
Le chef péquiste avait été invité par le réseau TVA, une filiale de Québecor, à l'occasion de l'enregistrement d'une entrevue en compagnie du maire de Québec, Régis Labeaume, et de l'ancien premier ministre Jean Charest, qui ont tout comme lui été associés au projet à ses débuts.
Quand il était premier ministre, M. Charest a annoncé un financement de 50 pour cent des coûts pour la construction de l'amphithéâtre, en partenariat avec le Ville de Québec qui a défrayé le reste. M. Labeaume a récemment annoncé que le coût s'élèverait finalement à 370 millions $ au total.
L'attaché de presse péquiste Bruno-Pierre Cyr a affirmé que M. Péladeau n'avait pas été invité à titre de chef de l'opposition officielle.
« C'est à titre de responsable du projet d'amphithéâtre, quand il était chez Québecor », a-t-il dit.
Après avoir été accusé cette semaine de se placer en situation de conflit d'intérêts parce qu'il avait évoqué d'éventuels partenariats entre Québecor et la Caisse, M. Péladeau a mis ses adversaires libéraux au défi de tirer les mêmes conclusions avec son passage au Centre Vidéotron, vendredi.
« La machine (des relations publiques) du gouv(ernement) libéral Couillard s'active. Elle m'accusera de conflit d'intérêts », a-t-il écrit sur son fil Twitter en publiant une photo de lui devant l'édifice.
Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a effectivement tiré la conclusion attendue par M. Péladeau, dans une réaction diffusée sur également sur Twitter.
« (Le) chef du PQ au centre de la glace de SA compagnie n'est pas l'apparence mais la démonstration d'un conflit d'intérêts », a-t-il écrit.
Guillaume Simard-Leduc, attaché de presse du cabinet du chef caquiste François Legault, a quant à lui soulevé la question de la confusion entretenue par M. Péladeau entre ses rôles de chef péquiste et d'actionnaire de contrôle de Québecor.
M. Simard-Leduc a relevé que M. Péladeau a multiplié les références écrites au Parti québécois dans ses messages sur Twitter où il publicisait son passage à l'amphithéâtre.
« Sur sa page Twitter, son outil de promotion comme personnage politique, de son parti, de son option, il le présente comme étant lié au Parti québécois, donc en partant il y a une confusion des genres qu'il doit absolument clarifier », a-t-il dit en entrevue.

Simon Larose croit que Connors peut aider Bouchard par sa fougue et sa passion

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Eugenie Bouchard a étonné plusieurs observateurs par son choix de faire équipe avec l'Américain Jimmy Connors, une légende du tennis masculin, afin de l'aider dans sa préparation à l'aube des Internationaux de tennis des États-Unis.
Pour Simon Larose, entraîneur à Tennis Canada, cette union ne peut certainement pas nuire, même s'il ne faut pas l'envisager comme une association à poursuivre dans une perspective de long terme.
« Rendu là où elle est, ça vaut le coup d'essayer pour Eugenie. Elle m’a l’air d’avoir perdu son aplomb, son désir de se battre sur chacun des points, et c’est attribuable à plusieurs facteurs, dont un manque de confiance », a-t-il évalué lors d'une entrevue accordée à RDS.
« Jimmy Connors est un gars très extraverti et passionné, a-t-il poursuivi. Ça se peut qu’il soit en mesure de lui transmettre ça. On sait qu’avec (Maria) Sharapova, ça n’avait pas duré bien longtemps (à peine une semaine). On verra s’il a appris de cela. Chose certaine, il est un passionné, et c’est ça qu’elle va essayer d’aller chercher de lui. »
Trop de changements?
L'ancien joueur du circuit ATP ne se gêne pas pour affirmer que le manque de stabilité de la Montréalaise à travers ses choix d'entraîneurs contribue négativement à l'amélioration de ses résultats sur les courts.
« Personnellement, je privilégie le long terme. Depuis sa jeunesse, Eugenie a changé souvent de coach. Ç’a fonctionné par le passé, mais est-ce que ça peut encore être la solution? Je ne crois pas. Elle doit s’entourer de quelqu’un qui sera là tous les jours. Ça prend quelqu'un en qui elle a confiance, et non une personne qui ne sera pas que le temps d'un mois », a martelé Simon Larose.
Après un court partenariat avec Sam Sumyk plus tôt cette année, Bouchard s'est tournée vers le Serbe Marko Dragic, avec qui elle avait déjà collaboré par le passé, toujours dans l'objectif de retrouver le droit chemin. Selon Larose, les changements fréquents de la dernière année n'aident en rien le manque de constance ayant caractérisé sa saison 2015 sur le circuit WTA.
« Elle ressent de la pression. Elle a monté très rapidement, et elle n’a pas suivi le cheminement idéal pour rejoindre les meilleures au monde. En faisant bien dans les tournois majeurs sans nécessairement connaître de succès dans les autres tournois d’importance, elle a sauté des étapes », a-t-il analysé.
Maintenant qu'elle a connu la médiocrité, la joueuse de 21 ans ne peut que se retrousser les manches pour retrouver sa forme d'antan, et surtout les victoires qui l'accompagnaient. Pour ce faire, elle devra croire fermement en sa capacité de renouer avec ce qui faisait d'elle une joueuse redoutable lorsqu'elle était membre du top-10 mondial.
« Eugenie va se remettre en place. C’est une personne qui travaille extrêmement fort et qui aime le tennis. Elle est bien entourée avec Tennis Canada et ses agents, donc ça va bien aller mais c’est vrai qu’en ce moment, elle passe un dur moment », a conclu Larose.

jeudi 27 août 2015

Des rumeurs enverraient les Hurricanes à Québec

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Publié le 27 août 2015 à 05h00 | Mis à jour à 07h28
Le bruit court aux États-Unis que les Hurricanes... (Photothèque Le Soleil)
PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

Le bruit court aux États-Unis que les Hurricanes de la Caroline pourraient être transférés à Québec et qu'une seule ville, Las Vegas, obtiendrait une nouvelle franchise dans la LNH.

(Québec) Des rumeurs publiées dans les médias américains évoquent la possibilité d'un déménagement des Hurricanes de la Caroline vers Québec et l'attribution d'une seule équipe d'expansion à Las Vegas en attendant qu'un autre groupe de l'Ouest soit prêt à accueillir une équipe de la Ligue nationale de hockey (LNH).
Rapportée par le journaliste Luke DeCock dans le journal The News & Observer de Raleigh, en Caroline du Nord, la rumeur a été expliquée dans un article faisant état des démarches du propriétaire Peter Karmanos pour se départir des Hurricanes.
Celui qui avait déménagé les Whalers de Hartford en Caroline a mentionné l'an dernier qu'il aimerait vendre sa participation majoritaire dans l'équipe pour 400 millions $, insistant toutefois pour continuer à gérer la formation. Cette condition aurait d'ailleurs rebuté un groupe d'investisseurs locaux qui aurait été intéressé à acquérir l'équipe.
Mentionnant la baisse de 23 % des ventes d'abonnements de saison l'an dernier, DeCock fait état de rumeurs persistantes qui associeraient les Hurricanes avec Québec, même si la LNH est depuis plusieurs années fortement opposée aux déménagements d'équipes et qu'il serait contre-productif de permettre un transfert au beau milieu d'un processus d'expansion qui risque d'amener 1 milliard $ dans les poches des 30 propriétaires du circuit Bettman.
Éviter le débalancement
La rumeur rapportée par DeCock amènerait la LNH à attribuer une équipe d'expansion à Las Vegas et à permettre à Québecor d'acheter et de transférer une équipe de l'association de l'Est. La ligue pourrait ainsi fonctionner à 31 équipes en attendant qu'un groupe de Seattle ou d'une autre ville de l'Ouest soit prête à accueillir elle aussi une formation.
Ce scénario permettrait d'éviter le débalancement des conférences qui serait accentué par l'ajout d'une équipe d'expansion dans l'association de l'Est, qui compterait alors 17 équipes contre 15 dans l'Ouest si Québec et Las Vegas obtenaient une équipe d'expansion. Il éviterait également de devoir faire jouer une potentielle équipe de Québec dans l'association de l'Ouest en attendant un autre réalignement des divisions, une possibilité qui n'enchante pas les dirigeants du circuit.
Le magazine Sports Illustrated, par la plume du journaliste Allan Muir, a également repris l'histoire du News & Observer, mentionnant que les Hurricanes étaient au 29e rang au chapitre des foules l'an dernier dans la LNH avec une moyenne de 12 594 spectateurs par match, tout juste devant les Panthers de la Floride.
Moins cher
Muir ajoute que Québecor, qui est prête à avancer 500 millions $ pour une équipe d'expansion, serait certainement intéressée à se procurer pour un montant moindre une organisation comptant plusieurs jeunes joueurs prometteurs, comme Noah Hanifin, Justin Faulk et Haydn Fleury.
Il précise cependant que, présentement, les chances que ce scénario se concrétise semblent bien minces étant donné que Gary Bettman n'est pas un partisan des déménagements et que Raleigh a déjà démontré qu'elle pouvait appuyer son équipe quand le produit sur la glace était de qualité.
Sans mentionner les Hurricanes, John Shannon, du réseau Sportsnet, évoque toutefois lui aussi la possibilité de voir Québec revenir dans la LNH par un transfert plutôt que par la voie de l'expansion.
«Ça ne me surprendrait pas du tout de voir les propriétaires prendre l'argent et ajouter les deux villes [Québec et Las Vegas] pour la saison 2017-2018. Mais ça ne me surprendrait pas non plus de voir la Ligue ajouter seulement Vegas et que Québec ait à attendre un peu plus longtemps, forçant peut-être même Québecor à changer sa stratégie pour tenter de trouver une équipe à déménager», écrit le journaliste, qui évoque aussi la possibilité de voir la Ligue n'accorder aucune équipe au terme du processus d'expansion entamé cet été.

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Les Hurricanes vers un déménagement?

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Jeff Skinner et Jordan Staal
Jeff Skinner et Jordan Staal (Source d'image: Getty )

Le propriétaire des Hurricanes Peter Karmanos est toujours à la recherche d'un acheteur pour l'équipe, et le processus de vente ne semble pas avoir progressé depuis un an.
Le président Don Waddell avoue que des discussions ont eu lieu avec quelques groupes locaux, mais qu'il n'y a toujours rien de sérieux.
Selon le journaliste Luke Decock, du News and Observer de Raleigh, plus la vente tarde et plus un déménagement des Hurricanes devient une possibilité.
Il évoque même un scénario selon lequel le groupe Québecor pourrait acheter la concession afin de la relocaliser à Québec.

Québecor demandera-t-il de l'aide?

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Centre Vidéotron
Centre Vidéotron (Source d'image: RDS )

RIMOUSKI, Qc - Le chef péquiste Pierre Karl Péladeau estime qu'il n'est pas nécessaire de subventionner le projet de retour des Nordiques piloté par le conglomérat Québecor et il laisse la Caisse de dépôt décider si une participation est judicieuse.
M. Péladeau, actionnaire de contrôle de Québecor, a aussi évoqué mercredi la possibilité que le Fonds de solidarité FTQ soit un partenaire financier.
« Si la Caisse est éventuellement sollicitée et considère que ça peut être une bonne affaire, ce sera à eux autres comme dirigeants de déterminer, a-t-il dit. Ce n'est pas moi qui vais prendre leur décision. »
En concluant un caucus de deux jours des députés péquistes à Rimouski, en prévision de la rentrée parlementaire, M. Péladeau a cependant exclu toute subvention de l'État.
« Je ne crois pas qu'il y ait de subvention qui soit requise, a-t-il dit en conférence de presse. Maintenant, si le promoteur de la candidature de la propriété d'une équipe de hockey professionnel à Québec, pour ne pas dire les Nordiques, souhaite solliciter des gestionnaires de fonds, c'est une éventualité qui est offerte à ces entreprises qui sont gestionnaires de fonds pour investir. »
Le conglomérat Québecor a déposé cet été un dossier de candidature dans le cadre du processus d'expansion de la Ligue nationale de hockey. L'entreprise a annoncé en juillet qu'elle était à la recherche de partenaires financiers dans l'éventualité d'une transaction.
Mercredi, le vice-président aux affaires publiques de Québecor, Martin Tremblay, a affirmé qu'aucune demande n'a été formulée aux représentants gouvernementaux.
« Nous n'avons eu aucune discussion avec des représentants gouvernementaux quant à un soutien financier dans le cadre du processus d'expansion de LNH, a-t-il répondu dans un courriel. Dans le même sens, nous n'avons eu aucune discussion formelle avec des partenaires privés potentiels. Québecor est le promoteur unique soumis à la LNH dans son dossier de candidature. »
En septembre 2014, le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, avait évoqué la possibilité d'un partenariat avec Québecor pour ramener une équipe de la LNH à Québec, bien que l'entreprise n'ait alors formulé aucune demande à ce sujet.
L'amphithéâtre de Québec, construit par la Ville de Québec et le gouvernement dans le but de favoriser un retour des Nordiques, doit être inauguré au début du mois de septembre prochain.
Le ministre de l'Économie et du Développement économique, Jacques Daoust, était demeuré plus réservé sur la possibilité que le gouvernement accorde une garantie de prêt à Québecor.
Plus tôt mercredi matin, le député péquiste Nicolas Marceau s'est opposé à tout soutien financier du gouvernement pour le retour des Nordiques.
Dans un bref échange avec des journalistes, M. Marceau, porte-parole en matière de finances, a estimé que l'État n'a pas à financer ce projet, qui doit selon lui relever uniquement du secteur privé.
« Moi je ne vois pas de ce genre de choses, a-t-il dit. C'est une entreprise privée qui doit faire des sous, c'est tout. »

Aleksandra Wozniak en quarts de finale à Winnipeg

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Aleksandra Wozniak
Aleksandra Wozniak (Source d'image: Vincent Éthier )

Aleksandra Wozniak a accédé aux quarts de finale du tournoi de Winnipeg mercredi.
Elle a vaincu la jeune joueuse de 17 ans Ingrid Neel, une Américaine classée 535 sur le circuit de la WTA, par la marque de 6-3, 6-3.
La Québécoise affrontera désormais Arina Rodionova ou Michaella Krajicek au prochain tour.
Par ailleurs, il a été confirmé que Wozniak fera ses débuts en sol québécois à la Coupe Banque Nationale qui se tiendra du 14 au 20 septembre, au Peps de l'Université Laval.
Elle devra passer par les qualifications tout comme Françoise Abanda et Gabriela Dabrowski.
« C'est sûr qu'elle est assurée de jouer les qualifications parce qu'elle l'a demandé, a déclaré Jacques Hérisset, directeur de la compétition. J'ai trouvé sympathique de sa part qu'elle nous demande de lui donner un laissez-passer dans le tableau des qualifications. Je lui ai demandé de répéter pour savoir si j'avais bien compris. Pour elle, c'est mieux. Elle pourra affronter des joueuses qui veulent se qualifier. Ce sera moins lourd, au début. On va tous souhaiter qu'elle se qualifie pour remplir les gradins après. »
Pour une deuxième année de suite, Eugenie Bouchard ne sera pas présente à Québec.
Parmi les têtes d'affiche, on retrouve Madison Keys, 19e mondiale, et Mirjana Lucic-Baroni, championne en titre.

LCF : Winston Venable s'impose chez les Alouettes après avoir patienté 2 ans

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Winston Venable
Winston Venable (Source d'image: Alouettes de Montréal -
Rogerio Barbosa )

Éric Leblanc
MONTRÉAL – En raison de leur début de saison quelque peu laborieux, les Alouettes de Montréal ne dominent pas autant qu’à leur coutume les différentes colonnes de statistiques de la LCF, mais ça n’empêche pas Winston Venable, qui est doté d’une génétique sportive exceptionnelle, de se démarquer.
Ironiquement, Venable a dû prendre son mal en patience pour accéder à un rôle proéminent dans l’organigramme défensif des Alouettes. Pourtant, celui dont le père a appartenu aux Expos de Montréal en 1984 se classe présentement au troisième échelon du circuit canadien avec 47 plaqués en huit matchs.
Illustration de Winston VenableÇa peut donc sembler étonnant de constater qu’il a été contraint de patienter pendant deux années avant de fouler le terrain avec régularité en défense. Ceci dit, l’explication derrière son utilisation tient la route. Noel Thorpe, le coordonnateur défensif, avait déjà à sa disposition des secondeurs de haut niveau pour pourchasser les adversaires.
Si Chip Cox demeure un intouchable par ses qualités et sa position particulière, Bear Woods et Kyries Hebert n’étaient pas faciles à déloger. En fin de compte, il aura fallu une blessure assez longue à Hebert pour qu’une porte s’ouvre en la faveur de Venable (illustration de @CFLPrime) cette saison.
« En pouvant se rendre sur le terrain plus souvent, il a forcé les entraîneurs à ne pas lui confier un rôle secondaire malgré le retour de Kyries même si ce dernier demeure à la hauteur », a convenu Jim Popp, qui porte pratiquement tous les chapeaux chez les Alouettes en tant qu’entraîneur, directeur général, directeur du personnel des joueurs et vice-président.
« C’est un véritable joueur de football dans tous les sens du terme, c’est la meilleure façon de le décrire », s’est assuré de souligner Thorpe sur l’ensemble de ses qualités. 
Avec sa personnalité passionnée et son intensité que les autres équipes découvrent à leurs dépens cette saison, Venable a, sans surprise, piaffé d’impatience avant d’obtenir ce qu’il convoitait.
« Absolument! », a avoué Venable quand le RDS.ca lui a demandé si ce fut pénible comme période. « Je comprenais que nous avions une équipe bourrée de talentueux vétérans. J’ai eu besoin d’une ou deux années pour prendre mon élan, mais maintenant que c’est parti, ça se déroule très bien. »
« C’était certainement un peu frustrant au début parce que tu veux toujours être sur le terrain pour contribuer, tu deviens en quelque sorte un peu jaloux de vouloir aider l’équipe comme les autres », a poursuivi Venable qui a indéniablement retrouvé tout son bonheur.
La situation était accompagnée d’une dose de déception supplémentaire puisque Venable arrivait de la NFL où il était parvenu à contribuer pendant une année sur les unités spéciales des Bears de Chicago de Lovie Smith.
En aboutissant dans la NFL à la suite d’un passage fructueux avec l’Université Boise State, l’athlète originaire de la Californie a réalisé que la marche était colossale.
« C’était vraiment toute une expérience, un défi. Je suis arrivé à la suite du conflit de travail donc nous n’avions pas eu l’entraînement habituel avant le camp d’entraînement. Je peux vous dire que j’ai été un peu submergé par l’ampleur de la tâche au début », a admis le numéro 31 avec franchise.
« J’ai été heureux et privilégié de faire l’équipe et de pouvoir surtout contribuer sur les unités spéciales durant toute l’année. C’était merveilleux d’aider pendant une saison entière. Il faut savoir que même si beaucoup de jeunes rêvent de jouer dans la NFL, ce n’était pas nécessairement mon rêve, je voulais plutôt jouer dans un grand programme universitaire, ce que j’ai accompli », a expliqué le volubile interlocuteur de 28 ans.
Avec sa charpente de 5 pieds 11 pouces et 220 livres, Venable s’est présenté dans la NFL en ne cadrant malheureusement pas dans aucun rôle spécifique. Le secondeur a ainsi été transformé en maraudeur sans que le scénario optimal se présente et c’est pourquoi la LCF s’est avérée une destination de prédilection.
Winston Venable écoute Noel Thorpe« C’est vrai, le style de la LCF me sied à ravir. Je peux jouer à tellement de différentes positions que ça me rend plus polyvalent pour les entraîneurs. Ici, ils aiment les athlètes comme moi qui peuvent être utilisés dans de multiples stratégies. C’est particulièrement vrai dans le système de Noel Thorpe qui nous demande de faire varier nos tâches », a corroboré Venable qui exerce son influence comme secondeur, demi défensif et maraudeur.
Parlant de Thorpe (sur la photo), ses yeux s’illuminent quand on le questionne sur son nouveau « couteau suisse ».
« Il frappe comme un secondeur, mais il peut aussi jouer plus reculé et même réussir des blitz. C’est vraiment un joueur spécial! », a vanté Thorpe.
Les partisans les plus attentifs peuvent confirmer la force de frappe à laquelle Thorpe fait allusion. Sa présence ne passe donc pas inaperçue autant chez les spectateurs, ses opposants et ses coéquipiers.
« Intensité! C’est le premier mot qui me vient en tête quand je pense à lui. Avec lui, Bear Woods et Kyries, on peut compter sur trois machines qui courent partout sur le terrain et qui font peur aux attaques. Winston arrive avec impact et il frappe fort. Du premier au dernier jeu, il ne ralentit pas », a salué son camarade Nicolas Boulay.
Encore une fois, cette trouvaille émane de Popp. Même si les derniers entraîneurs des Alouettes ont éprouvé des ennuis, Popp continue d’avoir du flair pour les joueurs et il raffole de la contribution de nouveaux éléments défensifs comme Corvey Irvin, Mitchell White, Jonathan Hefney et Venable.
« La première chose, c’est qu’ils adorent le football. C’est vraiment le cas avec Winston, on parle d’un joueur de football dans l’âme. […] La LCF est un match parfait pour lui », a évoqué Popp.
Venable peut bien adorer le football, mais il ne s’agit pas de la seule clé derrière sa réussite.
« Il a définitivement une bonne tête sur les épaules, c’est un excellent meneur qui remplit bien son rôle dès sa première année en tant que partant », a éclairé Boulay. 
Thorpe constitue le cerveau de l’unité défensive qui a concédé le moins de points (148) à travers la LCF après huit matchs. Il se réjouit de pouvoir compter sur l’appui d’un athlète de la trempe de Venable.
« Il est définitivement intelligent et prêt à investir le temps nécessaire en s’impliquant activement dans les réunions. Mais c’est plus que de l’intelligence, il a des instincts de football et un style de don pour se rendre au ballon », a insisté Thorpe.
Fils et frère de joueurs de baseballWill Venable
Inutile de chercher bien loin pour comprendre d’où vient cet instinct sportif naturel. En tant que frère de Will Venable, récemment acquis par les Rangers de Texas en provenance des Padres de San Diego, et fils de Max qui a œuvré pendant plus de 10 ans dans le baseball majeur, on peut conclure que la pomme n’est pas tombée loin de l’arbre.
Tout comme son frangin et son paternel, Winston aurait pu s’orienter vers le baseball, mais l’attirance envers le football a eu le dessus.
« J’ai toujours pensé que je me débrouillais plutôt bien, mais l’aspect physique du football m’a toujours charmé. Je trouvais que le baseball était un peu plate et que le football me convenait mieux », a-t-il jugé avec le sourire.
Plus jeune de quatre ans que son frère, Venable aurait pu sauter sur l’occasion de le taquiner pour déterminer qui était le meilleur de la famille.
« Je vais lui donner l’avantage. C’est une force de la nature en sports. À vrai dire, il pourrait probablement enfiler un uniforme de football et suivre notre rythme sur le terrain s’il le voulait », a prétendu le solide cogneur.
Mais le plus grand athlète la famille était peut-être le père qui a refusé plusieurs offres au football pour se tourner vers le baseball professionnel. Il a conclu sa carrière de joueur (en 1992 et 1993) au Japon où la famille a vécu le privilège de le suivre.
Max Venable« Je suis allé à l’école là-bas pendant près de deux ans. C’était vraiment une expérience incroyable, c’est tellement différent là-bas », a-t-il déclaré avant d’enchaîner avec une anecdote « savoureuse ».
« Je me souviens que les joueurs se méritaient une grosse poche de riz quand ils frappaient un circuit. Mon père est donc revenu à la maison avec une à quelques occasions », s’est-il souvenu en riant.
Avant d’accepter l’aventure japonaise, son père s’est aussi arrêté à Montréal pour un rôle modeste en 1984 si bien que cette ville n’était pas étrangère à Venable.
« Il m’a un peu parlé de la ville et je me souviens de certaines histoires sur le Stade olympique. Quand il est venu me visiter l’an dernier, il a revu certaines choses de son époque et il se rappelait bien de la rue Ste-Catherine », a raconté Venable qui n’a jamais été poussé vers le sport par ses parents.
Présentement, le paternel travaille comme entraîneur dans le système de développement des Mariners de Seattle et il souhaiterait retourner au plus haut niveau grâce à cette avenue. En constatant les similitudes entre les membres de cette famille, ce n’est pas étonnant d’entendre Venable songer à une après-carrière dans l’enseignement.
« J’adore travailler avec les enfants, que ce soit leur enseigner, les diriger, les influencer d’une bonne manière… Je ne sais pas encore quelle forme ça prendra, mais je pourrais me voir comme entraîneur un jour », a conclu celui qui atteint la plupart de ses buts.